Micro-immunofluorescence (MIF)
<<Retourner aux résultats de la rechercheFormulaires de demande
Détails de la référence
Épreuve sérologique par micro-immunofluorescence (MIF) pour déterminer la présence d'une infection de Chlamydophila pneumoniae.
- Pneumonie atypique
Sérum ou, de préférence, paires de sérum prélevé en phase aiguë et en phase de convalescence. Fournir un échantillon de sérum d'au moins 0,5 ml.
Réfrigérer ou congeler les échantillons jusqu'au moment de leur envoi pour analyse. Expédier les échantillons congelés sur de la glace sèche ou sur de la glace humide.
Envoyer le sérum dans un microtube à centrifuger stérile de 1,5 à 2 ml.
Réfrigérer ou congeler les échantillons jusqu'au moment de leur envoi pour analyse. Expédier les échantillons congelés sur de la glace sèche ou sur de la glace humide.
Les patients doivent avoir obtenu un diagnostic ou présenter des symptômes évoquant une pharyngite, une bronchite ou une pneumonie atypique.
Requête d’analyse de bactériologie spéciale dûment remplie, comprenant les renseignements sur le patient et l’information clinique pertinente. Si possible, joindre les résultats des tests de laboratoire effectués par le laboratoire local et/ou provincial.
La sérologie systématique visant à détecter les anticorps dirigés contre Chlamydophila pneumoniae a pris fin le 31 mars 2006. À l'heure actuelle, ce service est offert sur demande spéciale seulement. À la demande des représentants provinciaux et selon les données épidémiologiques, le LNM collaborera aux enquêtes sur les éclosions en ayant recours à des méthodes sérologiques dans les cas où il a été déterminé que Chlamydophila pneumoniae est l'agent causal.
Une épreuve sérologique par micro-immunofluorescence est effectuée à l'aide d'une trousse commerciale (Focus Diagnostics Inc./Bio Nuclear Diagnostics Inc., Toronto, Ontario).
15 jours civils. Il convient de souligner que si des tests doivent être répétés, le délai d'exécution peut être plus long.
- Blasi, F. 2004. Atypical pathogens and respiratory tract infections. Eur Respir J. 24(1):171-81.